PRINCIPES PHILOSOPHIQUES POUR UNE LIBERTE RETROUVEE
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De la liberté d'être soi-même
La plus terrible des prisons est la prison mentale, cette prison que nous acceptons tous, qui nous pollue et gangrène notre vie.
Il faut savoir se libérer de ses chaînes mentales, savoir oser être soi. Il faut oser dire à tous sa vérité, au risque de heurter notre entourage,
au risque de ne pas être compris, les autres disant « mais que t’arrive-t-il ? » L’entourage habitué à nous voir évoluer selon un chemin, un caractère
donné ne comprend pas ce changement de cap. Et justement par peur de cette incompréhension, nous refusons le changement, nous nous renions.
Il faut oser dire non, oser dire non à la place que nous a donné notre famille malgré nous. Il faut refuser de jouer et de rejouer
l’inconscient collectif de la famille. On ne peut se disculper en disant « mais je n’y peux rien ». Si, nous y pouvons quelque chose, Après, je ne dis pas
que ce soit chose aisée, mais au moins montrer que nous refusons cela.
Il ne nous arrive rien dans la vie si nous ne nous battons pas, si nous laissons faire les choses, sans lutter contre cette promesse négative, ou
positive d’ailleurs. Car accepter de vivre de belles choses selon une volonté familiale est-ce vraiment liberté ? Si nous vivons les honneurs et récompenses
d’une autre personne, est-ce vraiment bon pour nous ? Ce que nous percevons comme merveilleux pour nous, n’est peut-être pas merveilleux pour quelqu’un
d’autre, et vice versa.
Il est de notre responsabilité de vivre notre propre vie selon nos propres idéaux, rêves et espoirs. Et attention quand on s’est soi-même libéré,
de ne pas devenir à notre tour « tortionnaire mental » sur nous-mêmes ou sur les autres.
Habitués à notre prison mentale, quand nous sommes libres, nous semblons être perdus, à ne pas savoir quoi faire de cette liberté nouvellement acquise.
Il faut donc dans ce cas, explorer toutes les possibilités nouvelles qui s’offrent à nous. Et choisir par la suite ce qui nous convient le mieux.